Le milieu du spectacle, par contre, je connais : danseuse depuis l’âge de 12 ans, je n’ai jamais cessé de pratiquer cette discipline, réelle passion (classique , comtemporain, moder-jazz , claquettes) ; ce qui a peut-être forgé mon caractère de battante, car être femme-magicienne dans ce cercle d’hommes relève d’un challenge !

 

Je décroche quelques prix en passant dans des congrès ou autres : prix national de magie féminine à Cannes en 89 , 1er prix de magie féminine à Bruxelles en 90, lauréate au festival de l’enfance à Puymirol, 2eme prix international de spectacle pour enfants catégorie «traditionnel» à Bordeaux en 90, 1er prix international de marionnettes à fils catégorie «nouveautés» à Bordeaux en 91 ; par la suite j’arrête les concours.

 

Quelques passages en télévision me sont proposés dont «la dernière séance» avec Eddy Mitchell et Dick Rivers !

 

D’infirmière, je troque ma tenue pour celle de magicienne à part entière, et définitivement ; et de duo je passe en solo ...

 

Pourquoi la magie et les marionnettes à fils ?

Pour mon propre plaisir déjà, car j’ai le même regard qu’un enfant qui découvre qu’il peut aussi arriver à exécuter un tour de magie ou fabriquer et donner vie à une marionnette et... émerveiller un public !

Et lorsque je regarde les personnes devant moi, de la scène ou j’évolue, rire ou être étonnées, dans un état de rêverie éveillée, alors je suis ravie. Et enchantée de leur réaction : et de les avoir amené dans un univers onirique !

 

Donner du rêve aux autres, c’est le plus beau des métiers, et le réaliser soi-même par le biais de matériaux nobles c’est encore plus fantastique ! D’une boule, d’un bout de corde, d’un morceau de bois, à partir d’objets de récupération, je donne une vie, un mouvement, une émotion. Et lorsque ce but est atteint, alors l’harmonie et l’unité règnent : c’est un moment enchanteur et magique de communion !

 

Mon but est d’offrir de la convivialité, de la comédie, de l’humour, de la magie et de l’amour .